proverbes français

à bon chat, bon rat
abondance de biens ne nuit pas
à chacun son métier, les vaches seront bien gardées
à chaque jour suffit sa peine
à cheval donné, on ne regarde point les dents
à cœur vaillant, rien d’impossible
à la guerre comme à la guerre
à maison laide arbre mort
amitié mène à lâcheté
à malin, malin et demi
à vieille mule, frein doré
après la fête, on gratte sa tête
après la pluie, le beau temps
après l’effort, le réconfort
au royaume des aveugles, les borgnes sont rois
au tard venu, les os
aussitôt dit, aussitôt fait
avec des si on mettrait Paris en bouteille
beaucoup de bruit pour rien
caresse de chien donne des puces
c’est au pied du mur qu’on voit le maçon
c’est en forgeant qu’on devient forgeron
ce n’est pas à un vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces
ce qui ne tue pas rend plus fort
cela ne sert à rien de devenir un jour l’homme le plus riche du cimetière
c’est en forgeant que l’on devient forgeron
chacun son métier, les vaches seront bien gardées
chacun est l’artisan de sa fortune
chacun voit midi à sa porte
chassez le naturel, il revient au galop
chassez le naturel par la porte, il revient par la fenêtre
chat échaudé craint l’eau froide
chose promise, chose due
de l’eau sur la mariée, de l’or dans le panier
en avril, ne te découvre pas d’un fil, en mai, fais ce qu’il te plaît
fais ce que je dis, pas ce que je fais
faute avouée à moitié pardonnée
faute avouée est à demi pardonnée
faute de grives, on mange des merles
il faut manger pour vivre, et non vivre pour manger
il faut souffrir ou faire souffrir
il faut viser haut pour ne pas tomber trop bas
il n'est pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre
il n’est point de sot métier
il ne faut pas se moquer de la peine du voisin, car la vôtre arrive le lendemain matin
il n'y a pas de fonctionnaires travailleurs, il n'y a que des fonctionnaires insomniaques
il n’y a pas de fumée sans feu
il n’y a que le premier pas qui coûte
il n'y a qu'un seul péché, c'est l'ignorance
il vaut mieux arriver en retard qu’arriver en corbillard
il y a assez à faire de regarder ce qui cuit dans sa marmite sans aller regarder ce qui cuit dans celle du voisin
jamais deux sans trois
jeu de main, jeu de vilain
l’appétit vient en mangeant
l'argent est un bon serviteur et un mauvais maître
l’avare et le cochon ne sont bons qu’après leur mort
l’espoir fait vivre
l’habit ne fait pas le moine
la caque sent toujours le hareng
la chance sourit à ceux qui ne l’attendent pas
la fortune sourit aux audacieux
la nuit, tous les chats sont gris
la parole est d’argent et le silence est d’or
la peur donne des ailes
la véritable amitié se voit dans le malheur
l’appétit vient en mangeant
l’argent n’a pas d’odeur
l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt
le chat parti, les souris dansent
le chemin de l'enfer est pavé de bonnes intentions
le chien aboie, la caravane passe
le malheur des uns fait le bonheur des autres
le temps, c’est de l’argent
les chiens aboient, la caravane passe
les absents ont toujours tort
les affaires sont les affaires
les avares sont comme les porcs : ils ne rendent service qu’après leur mort
les bons comptes font les bons amis
les bons maîtres font les bons valets
les cordonniers sont toujours les plus mal chaussés
les murs ont des oreilles
les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures
les rats quittent le navire
l’habit ne fait pas le moine
l'exactitude est la politesse des rois
l’occasion fait le larron
l’oisiveté est la mère de tous les vices
loin des yeux, loin du cœur
lorsque Dieu veut nous punir, Il exauce nos prières
lorsque qu’un vieux fait l’amour, la mort court alentour
mieux vaut arriver en retard qu’en corbillard
mieux vaut être seul que mal accompagné
mieux vaut prévenir que guérir
mieux vaut tard que jamais
mieux vaut tondre l’agneau que le pourceau
ne remets pas à demain ce que tu peux faire aujourd’hui
il ne faut pas remettre à demain ce qu’on peut faire aujourd'hui
il ne faut pas remettre au lendemain ce qu’on peut faire le jour même
nécessité fait loi
on n’attrape pas des mouches avec du vinaigre
on ne fait pas d’omelette sans casser des oeufs
on ne lance pas de pierre quand on vie dans une maison de verre
on ne peut être à la fois au four et au moulin
on ne prête qu’aux riches
on ne tond pas un œuf
on voit la paille dans l'œil de son voisin et non la poutre dans le notre
pas de nouvelle, bonnes nouvelles
Paris ne s’est pas fait en un jour
petit à petit, l’oiseau fait son nid
pierre qui roule n’amasse pas mousse
pour faire bon ménage, il faut que l’homme soit sourd et la femme aveugle
le chat parti, les souris dansent
quand le chat n’est pas là, les souris dansent
quand le diable devint vieux, il se fit ermite
quand le vin est tiré, il faut le boire
quand les cheveux commencent à blanchir, laisse la femme et prends le vin
quand vient la gloire, s’en va la mémoire
qui a bu, boira
qui aime bien, châtie bien
qui dort, dîne
qui fait le malin, tombe dans le ravin
qui m’aime, me suive
qui ne dit, mot consent
qui ne risque rien, n’a rien
qui ne tente rien, n’a rien
qui paie ses dettes, s’enrichit
qui peut le plus, peut le moins
qui se ressemble, s’assemble
qui sème le vent, récolte la tempête
qui s’y frotte, s’y pique
qui veut la paix, prépare la guerre
qui veut noyer son chien, l’accuse de la rage
qui veut tuer son chien, l’accuse de la rage
qui veut voyager loin, ménage sa monture
qui vole un œuf, vole un bœuf
qui trop embrasse, mal étreint
qui vivra, verra
renvoyer à l’abc
rien de nouveau sous le soleil
rien ne sert de courir, il faut partir à point
rira bien, qui rira le dernier
seuls ceux qui ne font jamais rien ne se trompent jamais
seuls les imbéciles ne changent jamais d'avis
si Dieu n’existait pas, il faudrait l’inventer
si de beaucoup travailler on devenait riche, les ânes auraient le bât doré
sitôt dit, sitôt fait
tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir
tant va la cruche à l’eau, qu’à la fin elle se brise
tant va la cruche à l’eau, qu’à la fin elle se casse
tel père, tel fils
tel qu'on fait son lit, on se couche
tous les chemins mènent à Rome
tout nouveau, tout beau
tout beau, tout neuf
tout est bien qui finit bien
un bon ouvrier n’est jamais trop chèrement payé
un homme averti en vaut deux
un mauvais ouvrier a toujours de mauvais outils
un tiens vaut mieux que deux tu l’auras
une hirondelle ne fait pas le printemps
vouloir, c’est pouvoir
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